Nouvelle revue de l'enfance et de l'adolescence

Projet éditorial

 Projet éditorial

  • Questionner la place faite à l’enfant et à l’adolescent dans le social et ses répercussions auprès des jeunes et des familles ainsi que sur les paradigmes d’intervention des professionnels des secteurs de l’éducation, de la prévention, de la protection de l’enfance et du soin. Ce questionnement part d’une approche psychanalytique sans exclusive et ouverte aux éclairages philosophiques, anthropologiques, juridiques, sociologiques éducatifs, pédagogiques, artistiques,…
  • Soutenir ces professionnels aux prises avec les difficultés des jeunes dans un contexte où les repères de travail sont remis en question (évaluation, normes, restrictions, judiciarisation) en leur apportant des éléments de réflexion pour analyser ces changements, des pistes de travail pour montrer qu’une créativité professionnelle est possible.
  • Maintenir une interrogation sur les conditions institutionnelles et les dispositifs à mettre en place pour que les enfants, les jeunes et les familles soient pris en compte comme interlocuteurs possibles.
  • Analyser et diffuser les expérimentations intéressantes en institution et hors institution dont certaines sont conduites par des artistes. Réfléchir sur les effets des dispositifs et des jeux dedans-dehors concernant les institutions.

La revue comporte :

  • Un dossier avec des articles conformes aux exigences universitaires
  • Des témoignages de créativité professionnelle dans les secteurs de l’éducation et du soin (comment trouver/créer des dispositifs et des formes de travail pour accueillir et élaborer les troubles), témoignages venant des professionnels comme des jeunes et des familles.
  • Une rubrique internationale
  • Une rubrique compte rendu de livres, de films,

Propositions concernant le public et les objectifs de la revue.

Le lectorat est avant tout constitué de professionnels de la petite enfance, de l’enfance et de l’adolescence des secteurs de la prévention et de la protection de l’enfance, de l’éducation et du soin. Les formateurs intervenants auprès d’éducateurs spécialisés, d’assistantes sociales ou d’éducateurs de jeunes enfants ont de longue date eu recours aux articles de la revue qu’ils considèrent comme des supports utiles et bien adaptés. Ce lectorat peut se diversifier et s’ouvrir aux enseignants, aux porteurs de projets culturels et de création. Il s’agit de privilégier des articles courts entre 6 et 8 pages qui soient écrits de manière accessible mais rigoureuse et n’excluent pas une dimension de critique des pratiques et des modèles d’intervention dominants. Les dossiers pourraient comporter des articles au format de 10 à 15 pages plus conformes aux normes universitaires pour permettre un exposé plus argumenté d’un état de la question au besoin une critique élaborée. La rédaction doit rester suffisamment claire pour être abordable et utilisable comme source de réflexion dans un travail de mémoire par exemple.

L‘objectif est d’obtenir la reconnaissance comme revue à caractère scientifique avec un dossier remplissant les critères nécessaires et des varia permettant d’intégrer une ouverture à des contributions  plus accessibles à professionnels de terrain .

Le gabarit de la revue se situe autour de 180 pages. La périodicité est de deux numéros par an.

 Processus d’élaboration des articles proposés en réponse à un appel à contribution

Etape 0

Diffusion d’un appel à contributions avec argumentaire et date limite d’envoi des propositions aux coordinateurs du numéro

La première proposition d’article ne dépasse pas 1000 caractères

Etape n°1

Validation de la proposition d’article  par le Comité de Rédaction pour son adéquation avec la ligne éditoriale et le thème du numéro

Envoi de l’accord à l’auteur avec une date limite de réception de l’article complet.

La longueur souhaitée pour les articles est de 25 000 à 30 000 signes typographiques (en comptant les espaces et les notes de bas de page).

Le titre, le résumé comme les mots clés doivent être traduits en anglais et apparaître en début de texte juste après le titre en français.

Etape n°2

Lecture et validation en double aveugle par deux membres du comité de lecture avec éventuellement des demandes de modifications ou des recommandations qui sont adressées à l’auteur avec une date limite de réception de la version définitive.

Etape n°3

Vérification par le Comité de Rédaction de la prise en compte, par l’auteur, des modifications demandées par le comité de lecture.

Etape n°4

Validation par l’auteur des épreuves de son article envoyées par l’éditeur.

Recommandations  aux auteurs

Il est indispensable que l’auteur vérifie :les textes pour limiter les fautes d’orthographe et de syntaxe ; la hiérarchie des titres et intertitres ; la présentation des notes et les références bibliographiques ; la bibliographie générale

TEXTES

Saisie
Les textes doivent être saisis sous Word, seul logiciel adapté à la récupération des textes sur nos logiciels de mise en page. Il est impératif de les enregistrer sous format RTF pour PC et sous format Word pour Mac.

Fichiers
Éviter la multiplication des fichiers. Dans la mesure du possible, il est préférable de regrouper tous les textes sur un seul fichier Word.
Éviter la multiplication des versions. Les textes envoyés doivent être obligatoirement dans une version définitive.

Notes et références bibliographiques dans le texte
Les notes sont appelées dans le texte par des chiffres romains. Elles sont numérotées de 1 à x par chapitre. Les références dans le texte renvoyant à la bibliographie doivent comporter le nom de l’auteur et la date d’édition, le tout entre parenthèses sur le modèle (Lacan, 1974).

Bibliographies

Les bibliographies doivent être saisies selon les normes internationales suivantes :

BALANDIER, G. 1969. Anthropologie politique, Paris, PUF.
BEAUD, M. 1991. « Travail et société », Revue économique, 2, p. 155-172
LIVOIR-PETERSEN, M.-F. 2008. « Quand le partage émotionnel ne peut faciliter le développement
du bébé », dans P. Delion (sous la direction de), Les bébés à risque autistique, Toulouse, érès,
2e édition, p. 79-109.
MOSCOVICI, S. (sous la direction de). 1984. Psychologie sociale, Paris, PUF.
RABAIN, J.-F. 1979. L’enfant du lignage : du sevrage à la classe d’âge, Paris, Payot.
RABAIN, J.-F. 1985. « La rivalité fraternelle », Nouveau traité de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, 4.
RABAIN, J.-F. 1988. « L’enfant et la jalousie. Perspectives psychanalytiques », Lieux de l’enfance, 16. SCELLES, R. 2007a. « Famille et handicap : prendre en compte des spécificités du trauma de
chacun », dans A. Ciccone, S. Korff-Sausse, S. Missonnier, R. Scelles (sous la direction de),
Cliniques du sujet handicapé, Toulouse, érès.
SCELLES, R. 2007b. « Figure du frère dans le jeu souple de confusion identitaire extrême et de différenciation à l’autre “presque même” que soi », Champ psychosomatique, 45.
SCELLES, R. 2008. « Dire ou ne pas dire en famille : réflexion sur le processus de subjectivation
du handicap par les enfants au sien de la fratrie », Nouvelle revue de psychanalyse, 1.
SCELLES, R. ; HOUSSIER, F. 2002. « Violence et fratrie », Le divan familial, 8.
THIRION, M. ; CHALLAMEL, M.-J. 2002. Le sommeil, le rêve et l’enfant, Paris, Albin Michel.

Si elles apparaissent dans les notes :

G. Balandier, Anthropologie politique, Paris, PUF, 1969.
M. Beaud, « Travail et société », Revue économique, n°2, 1991, p. 155-172.
J. Habermas, « Actions, actes de parole, interactions médiatisées par le langage et le monde vécu », dans La pensée postmétaphysique. Essais philosophiques, Paris, Armand Colin, coll.
« Théories », 1993, p. 69, trad. R. Rochlitz.

IMAGES

Photos, cartes, graphiques, tableaux, dessins, …

  • La résolution des images doit être au minimum à 300 dpi.

  • Les images doivent être fournie de préférence en .tiff ou .jpg

DROITS D’AUTEUR

Lorsque vous joignez des illustrations, elles doivent impérativement être libres de droits. Si ce n’est pas le cas, il vous faut obtenir les droits de reproduction, les mentions légales devant figurer et nous informer du montant des droits pour leur utilisation.

Il en va de même pour les extraits d’œuvres littéraires. L’article L. 122-5 du Code de la propriété intellectuelle indique, sans plus de précisions, que la citation doit être « courte » (l’usage veut que l’on excède pas 6 à 8 lignes au maximum) et ce également au regard de l’œuvre citée (on ne peut pas reproduire 8 lignes d’un poème qui en fait 20 par exemple).

De plus, la citation doit s’inscrire obligatoirement dans un contexte critique, polémique, pédagogique, informatif, […] et dans un ouvrage qui ne fait pas concurrence à l’œuvre dont elle est issue. Enfin, elle est autorisée sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l’auteur et la source. Le droit de citation qui permet de s’exonérer de toute demande d’autorisation et du versement de droits d’exploitation n’est valable que si ces conditions sont remplies et est laissé à l’appréciation d’un juge en cas de poursuite.

C’est pourquoi, soit vous devez raccourcir les citations trop longues, soit vous devez demander les autorisations aux éditeurs concernés.